« Chabaud C & S »

Dans le quartier de l’Opéra à Montpellier, une petite boutique sert d’écrin à des objets de décoration bien choisis, des vêtements et accessoires ainsi qu’aux bougies, parfums et encens de la maison Chabaud C & S.

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  • Sophie a choisi des marques de lingerie très féminines et romantiques comme "Les Jupons de Tess", Elise Aucouturier et Fifi Chachnil.
Acteurs très présents de la vie Montpelliéraine depuis plus de vingt ans, Sophie et Christophe Chabaud y ont géré plusieurs enseignes "Robert Clergerie" , "Tartine et Chocolat", "Bonpoint" puis la boutique "Ventilo" avec un salon de thé attenant et située pour cette dernière au bas de la rue des Étuves.
En 2000, le couple se lance dans la composition olfactive et crée avec la marque « Chabaud C & S » leur maison de parfums. "Créer un parfum relève de la poésie, non de la chimie", nous dit Christophe dont les idées ne surgissent pas d’une stratégie commerciale.

"Créer un parfum relève de la poésie, non de la chimie"

"J’ai suivi une formation avec Monique Schlienger, parfumeur et créatrice de "Cinquième Sens", le centre de création et de formation professionnelle en parfumerie à Paris. Elle m’a tout appris. Étant de la vieille école, cette élève de Jean Carles ne s’intéressait qu’à la poésie".

« Côté Bastide »

Dans une ruelle du quartier Mazarin, à Aix-en-Provence, il est une boutique où l'on aime à s'attarder. C’est l'enseigne « Côté Bastide » dédiée à l’art de vivre en Provence qui est devenue en plus de vingt ans synonyme de luxe et symbole de haute qualité.

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Mise en scène autour d'un buffet en bois patiné chiné en Italie et d'une toile signée F. Adolf Henri, dans la boutique Côté Bastide à Aix-en-Provence
  • Mise en scène autour d'un buffet quatre portes en bois patiné chiné en Italie et d'une toile signée F. Adolf Henri datant de 1187. Au premier plan, une ancienne jarre à huile du 19ème siècle, du Sud de la France.
Puisant son inspiration dans les leçons du passé, avec le désir de retrouver nos sensations perdues, de raviver nos souvenirs, les plaisirs simples de la vie ; Nicole Houques imagine pour nous, depuis plus de vingt ans, des produits de qualité fabriqués en Provence. Véhiculant l’esprit de ses créations dédiées à l’art de vivre dans le Sud de la France, elle crée, en 1990, sa marque « Côté Bastide » en référence à la Bastide qui est en Provence, une maison de campagne où toute la famille aimait à se retrouver autrefois.

En Provence, l’élégance intemporelle des produits «Côté Bastide»

Fidèle à ce symbole de la maison de campagne, belle et authentique, où un sentiment de bien-être se dégage, la gamme de produits de la marque se décline en mobilier, linge de maison, mais aussi en produits de toilette, en parfums et met à l’honneur des matières simples, nobles, naturelles et élégantes.

« Gris-bleu »

Gris-bleu, blog à la Une du magazine en ligne e-magDECO
Comme une grande bulle de légèreté, le blog de Philippe nous captive par ses photos sublimes à travers lesquelles il préfère évoquer plutôt que montrer. Un brin rêveur, nostalgique parfois, la plume facile, Philippe apprécie l'humour qu'il distille régulièrement dans ses écrits, pour notre plus grand plaisir.
Habitant Paris, il se plaît dans les pages de son blog, comme il le dit lui-même, à y "étirer le soleil quand bien même le ciel est gris".

Un Noël en Provence

L'atmosphère s'imprègne des senteurs de cannelle et d'orange. Au cœur de la maison de Kristin qui respire la féérie, les couronnes, angelots, pampilles s'invitent dans un décor de fête.

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Décor de Noël dans un esprit charme et brocante réalisé par Kristin, blogueuse et chineuse
  • Dans la maison de Kristin, blogueuse et férue de chine, la décoration de Noël ne pouvait être autrement inspirée. Une façade de cheminée en bois peint est installée pour les besoins d'un décor sylvestre abritant un esprit charme et brocante.

L'univers enchanteur de « Miss Clara »

« Thé et graminées »

Thé et graminées, Blog à la Une du magazine en ligne e-magDECO, photo David Morganti
Marine surfait déjà depuis quelques années sur les blogs de couture et de décoration quand elle décide de créer le sien en septembre 2009. "J'adore découvrir des intérieurs, des nouveaux horizons", nous dit-elle. L’idée de démarrer un blog a germé en parlant à une amie. "C'est un outil formidable pour s'exprimer, partager ses goûts, ses découvertes et échanger sur des thèmes chers : la décoration et les voyages".

La "Guirlande Sylvestre" de Kristin

« Odorantes »

Emmanuel est make'up artist pour les stars et les models tandis que Christophe était coiffeur. Leur passion commune et le même goût de l'exigence les poussent à ouvrir une boutique où les fleurs sont les stars.

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  • Afin de mettre en scène et valoriser les fleurs, comme dans une forêt obscure, Christophe et Emmanuel ont peint l'intérieur de la boutique « Odorantes » en gris anthracite et en noir. Sur cette photo, Christophe pose derrière un comptoir qui provient d'une ancienne mercerie et qu'il a couvert de noir.

« Grange de Charme »

Blog à la Une, rubrique du magazine de décoration e-magDECO
Lorsque Tania achète sa grange dans l’Essonne il y a neuf ans, le bâtiment est déjà rénové mais dans un esprit rustique, les poutres sont peintes en gris, les murs en vert, la cheminée est en briques rouges...
Pour elle qui apprécie le style Shabby Chic, la transformation doit passer par le blanc.
L'élégance et l'authenticité s'invitent ainsi dans sa décoration de charme.

« Les Sources de Caudalie »

Dans un jeu de trompe-l'œil, de meubles chinés ou avant-gardistes, le tout dans une combinaison de blanc et de gris, une suite d'exception fête les dix ans d'existence d'un hôtel de luxe en Gironde.

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Les Sources de Caudalie, établissement hôtelier 5 étoiles près de Bordeaux
  • "La Bastide des Grands Crus" est dotée d’une tour centrale avec, au dernier étage, deux loggias et un grand salon, baptisé "La Tour de la Dégustation", d'inspiration mi-british, mi-cubain où l'on peut profiter d'une vue dominante et exceptionnelle sur le domaine et les vignes.

L'intérieur vintage d'une chineuse

Chineuse depuis vingt-cinq ans, Florence Bouvier n'en est pas à ses débuts dans l'aménagement et la décoration d'un intérieur. Dans sa maison près de Lyon, cette créatrice passionnée de linge ancien nous dévoile tous ses trésors.

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Dans le salon de Florence Bouvier, antiquaire à Lyon, une table basse des années 1950, un canapé Ghost de Paola Navone pour Gervasoni, boutique Maison Hand
  • Dans le salon, une table basse des années 1950 chinée à Lyon et un canapé "Ghost" de Paola Navone pour Gervasoni, boutique "Maison Hand" à Lyon.

« Les toiles de l'une »

Créatrice de linge de maison à base de matières naturelles, lin, coton, chanvre et morceaux choisis d'étoffes anciennes, Elsa nous reçoit dans sa maison près de Carpentras et nous dévoile sa passion pour le patchwork.
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Le salon d'Elsa Peyremorte décoré avec des objets de la marque Un Esprit en Plus, chez Mannissa à l’Isle-sur-la-Sorgue
  • Le salon lumineux donne directement sur la salle à manger par un passage cintré largement ouvert. Une petite bibliothèque a trouvé place entre les deux pièces et procure un peu d’intimité au salon. La maîtresse des lieux a choisi pour éclairer le salon une cloche grillagée, création "Un Esprit en Plus", boutique "Mannissa" à l’Isle-sur-la-Sorgue. Deux fauteuils club s’harmonisent avec le sol en carreaux de ciment d’époque.

Le coussin graphique d'Anne Loiseau

Dans son appartement-atelier parisien qu'elle nous fait découvrir, Anne nous dévoile ses créations et vous invite, à l'aide d'un tutoriel, à confectionner un "coussin graphique" !

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L'appartement parisien d'Anne Loiseau, créatrice styliste pour la presse déco
  • Dans son appartement-atelier, Anne Loiseau a exploité les moindres recoins de la lumineuse pièce à vivre en installant la salle à manger, le salon et son petit atelier.

La maison en ville de Béatrice

Le goût très sûr de Béatrice pour la mise en scène et sa préférence pour la fluidité et la lumière se manifestent dans sa maison en ville. Élevant l'esthétisme en religion, cette agenaise est également créatrice d'objets de décoration.

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Salon-salle à manger d'une maison à Agen décorée par Béatrice Loncle
  • Le salon/salle à manger est largement ouvert sur la cage d'escalier de la maison. Grâce à une verrière métallique ajustée dans la cloison, le hall d'entrée reste visible également et profite de la luminosité de cette pièce.

« Les Lofts du Vieux Port »

« BonneSœur(s) »

Un mélange de contemporain et d'objets chinés, des espaces épurés ponctués de couleurs flashy, l'univers de Lélia et Thélissa, deux sœurs, passionnées de déco, s'inscrit dans l'air du temps avec une note fraîche et un brin décalée.

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  • Jeune maman et styliste déco, Thélissa Deshayes porte Melwynn dans ses bras. Table réalisée avec des planches brutes par Thélissa, chaises "Eames" chinées, suspension volière "Mathieu Challières".
  • Cagette en porcelaine "Seletti", bouteille en porcelaine sérigraphiée "Atelier lzc".
  • Détail de la suspension volière "Mathieu Challières".

« La Maison sur la Sorgue »

Dans la "Venise comtadine", tout contre la rivière et ses canaux, un hôtel particulier dont l'origine remonte au XIVème siècle se métamorphose, sous l'impulsion d'un couple amoureux de l'Inde et de la Birmanie, en maison d'hôtes secrète au parfum d'Asie.

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Cuisine de la maison d'hôtes La Maison sur la Sorgue à L'isle-sur-la-Sorgue
  • La cuisine de la maison d'hôtes se pare de carreaux de terre cuite émaillée "Vernin Carreaux d'Apt" dans un camaïeu rouge et orange.
Marie-Claude et Frédéric vivent et travaillent comme consultants en marketing à Paris quand ils décident en 1998 de descendre dans le Sud de la France dont ils sont tous deux originaires. C’est un déclic qui les fait changer de cap brusquement, quand Marie-Claude, revenant d’une mission en Asie, réalise qu’elle aspire à une vie plus recentrée sur la famille. Elle veut avec son mari vivre plus près de ses trois enfants, et se donner tout en travaillant la chance de les voir grandir.

Pour vivre et travailler en Provence, en restant proches de leurs enfants

Ainsi, ils achètent en 2002 une maison en plein cœur de L’Isle-sur-la-Sorgue avec le projet de réaliser une maison d’hôtes. La cité l’isloise, célèbre pour ses foires à la brocante, est la troisième plate-forme européenne du commerce des antiquités.

« Justin de Provence »

Avec ses sols en carreaux de ciment coloré composant de somptueux tapis, ses badigeons feutrés et ses plafonds provençaux, son petit bistrot avec son vieux zinc prétexte aux souvenirs, le temps s'écoule dans cette maison d'hôtes de charme comme dans une maison d'amis.

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  • Dans la grande salle où Isabelle et Philippe reçoivent leurs hôtes, deux fauteuils Napoléon III encadrent un guéridon de bistrot chez "Labyrinthe Décoration". Sol en carreaux de ciment "Mosaic del Sur".
  • Posés sur un confiturier, un buste de jeune femme rehaussé par un socle de globe, l'ensemble chiné chez "Les Antiquaires de Lignane". Sur la droite, une photo datant de 1953 des parents d'Isabelle, anciens propriétaires du domaine.

« Le Posterlon »

Contre les remparts de Caumont-sur-Durance, une vieille et haute demeure du XVIIème siècle, avec vue sur les Alpilles, le Luberon, le Ventoux et les Dentelles de Montmirail, reçoit ses hôtes pour des séjours paisibles.

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Façade côté jardin du Posterlon, maison d'hôtes à Caumont-sur-Durance dans le Vaucluse
  • Une des hautes façades de l'ancienne maison de soyeux datant du XVIIème siècle, avec ses nombreuses fenêtres ordonnancées et régnant sur des bandeaux en pierre moulurée. Une loggia au deuxième étage ouverte par une baie géminée dont le trumeau est équipé d'un cadran solaire.
  • La porte de la maison couronnée d'un épais fronton cintré et encadrée par des vases Médicis en fonte. Au premier plan, un parterre en calade.

« La Co(o)rniche »

Avec sa vue époustouflante sur l'océan et la plus haute dune d'Europe, un ancien relais de chasse, incontournable des années 1930, se réinvente dans un luxe essentiel et familier mêlant fantaisie et authenticité préservée.

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Façade néo-basque de La Co(o)rniche près de la Dune du Pyla
  • La façade néo-basque de « La Co(o)rniche » caractéristique du style régional imposé par Louis Gaume et plébiscité tout autour du bassin. Au premier plan, un parterre en carreaux de ciment "Carocim".

Un Ancien moulin à huile en Vaunage

Dans la Vaunage, Marie-Laure Helmkampf, une architecte d'intérieur revenue de New York s'éprend d'un ancien moulin à huile en ruine et réalise, avec son mari, une réhabilitation au charme très actuel.
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Réhabilitation d'un vieux bâtiment en pierre dans le Sud de la France
  • Dans le patio, bassin et pelouse se partagent l'espace. La longue façade en pierre a été reconstruite avec ses deux grands arcs en plein cintre dans le respect de la tradition. L'autre corps de bâtiment est percé d'une haute ouverture quadrillée qui inscrit cette réhabilitation dans la contemporanéité.

« La Maison sur la Place »

Au cœur du Sud-Ouest de la France, Geneviève Cazottes nous invite à découvrir son restaurant ainsi que son univers fait de douceur et de sérénité qu'elle diffuse, également, dans des créations destinées à la maison et des accessoires de mode.

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Le village de Penne-d'Agenais avec vue sur la vallée, enseigne à l'entrée du restaurant de Geneviève Cazottes : 'La Maison sur la Place'
  • Le village de Penne-d'Agenais avec vue sur la vallée.
  • Des lettres en zinc composent l'enseigne à l'entrée du restaurant de Geneviève Cazottes : « La Maison sur la Place ».

Transparence et esprit brocante

« Douce Étoile »

Etiquette blog à la Une du magazine e-magDECO, invité : le blog Douce Étoile
Dans le tumulte de son quotidien, Anny s’offre une pause récréative grâce à son blog. Elle y décline ses passions pour la décoration, la cuisine, le jardinage, la couture et la restauration de meubles chinés.
Elle y met également à l'honneur certaines valeurs et des sentiments qu’elle cherche à transmettre à ses deux fils comme l'hospitalité, la vie de famille, la joie et le partage.

« Esperluettes »

Avec un regard espiègle, un duo d'artistes désire en découdre avec les éléments du quotidien et conjugue au féminin la création de luminaires et de petits mobiliers aussi cocasses qu'inattendus.

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Dans un intérieur restauré par l'architecte Martin Dekester, une suspension Pollux, créée par Esperluettes
  • Dans un intérieur restauré par l'architecte Martin Dekester, une suspension "Pollux" orange éclaire une table et une chaise "Tolix" chinées à l'Isle-sur-la-Sorgues chez "Lolo".
    "Fleurs", une œuvre de Francois Dezeuze accroché au mur. Sol en béton de Claire de Chivré.
Jeune marque d’objets de décoration qui plaisent autant qu’ils surprennent, « Esperluettes » s’inscrit dans l’air du temps. C’est une rencontre avec l’humour, le décalé, un rendez-vous avec des objets détournés issus pour la plupart de l’industrie et du bâtiment. C’est surtout la réunion de Claire de Chivré et Émilie Dezeuze, deux femmes drôles et curieuses.

Des objets de décoration teintés d'humour

Originaire de la Drôme, Claire a fait ses études d'architecture intérieure à Lyon puis à Rome avec une spécialité "mosaïque". Puis, sa rencontre avec un fabricant pour la mise au point d'un béton décoratif la conduit à créer son entreprise d’application de bétons. En cherchant une maison entre Valence et Avignon, elle découvre par hasard l’Ile de la Barthelasse. Lorsqu'elle fait la connaissance d'Émilie, Claire a envie d'une activité plus créative et plus légère qui la change de "bétonner toute seule" comme elle se plaît à nous le raconter.

« Comptoir Loranger »

Dans les Bouches-du-Rhône, un espace marchand d'esprit industriel donne un sens à l'accueil et au service. Un lieu de partage et d'échange où se mêlent astucieusement des objets de décoration et du mobilier ainsi qu'un restaurant-traiteur, une boulangerie et une pâtisserie... Un vrai régal !

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Comptoir entouré de chaises indus au Comptoir Loranger à Aix-en-Provence
  • Au milieu de la grande salle ceinturée par une galerie périphérique, le grand comptoir "Villa Collection" est entouré de tabourets de bar inspirés du tabouret "Nicolle" avec son dossier "queue de baleine". Suspendus à la galerie, des éclairages "Original BTC".
  • Guirlande de boules en fil de couleur "La case de cousin Paul".

« Célestine Boutons... »

Le bonheur se trouve dans les choses simples de tous les jours... Regarder le printemps s’installer dans un bouton puis dans la fleur qui éclot ; déguster un bon plat entre amis ; écouter rire les enfants ; contempler une jolie pile de tissus ; prendre le temps d’un café en terrasse avec une amie.
Profiter de ces moments précieux, de chaque petite parenthèse.
Voilà, pour Nathalie, les choses simples de la vie !

« Catherine Durr »

Les cupcakes de Nina

Nina nous fait partager sa passion pour la décoration des gâteaux et propose en exclusivité pour « e-magDECO » plusieurs décors pour des gâteaux de fées. Un régal pour les pupilles et les papilles !
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Cupcakes décorés avec de la pâte à sucre, créations de Nina Couto
  • Cupcakes décorés avec de la pâte à sucre de couleur écrue et enveloppés de papier dentelle, créations de Nina Couto.
Depuis quelques années, les cupcakes sont en vogue en France. Ces petits gâteaux, appelés "Cupcakes" par les américains ou "Fairy Cakes" (gâteaux des fées) en Angleterre sont faciles à réaliser et amusant à décorer, ils se couvrent d'un simple glaçage, de la traditionnelle houppette de crème ou d'un décor plus élaboré à base de pâte à sucre.

Ce petit gâteau décoré, d'origine anglaise, connaît un véritable engouement depuis quelques années.

La pâte à sucre, appelée aussi "fondant", se façonne comme de la pâte à modeler.
C'est pour cette raison que les enfants comme les adultes prennent un réel plaisir à la malaxer, la façonner, la rouler, la découper à l'aide d'emporte-pièces... un vrai jeu d'enfant !
À vous ensuite, de varier les présentations de vos cupcakes soit dans une caissette en papier blanc ou décorée et pourquoi pas dans une tasse !

« Estaminet coquet »

Acte I : Nous vivons à Paris et sommes à la recherche d'une petite maison de campagne pour passer du temps au vert avec nos enfants. Acte II : Nous projetons une visite en Bourgogne, peu convaincus par la distance et le prix de la maison. Acte III : Nous tombons sous le charme et dix mois après notre achat, nous décidons de quitter Paris pour nous y installer, alors que la vie à la campagne n'avait jamais été au programme. La vie est surprenante !

« La Maison Bord'Eaux »

Au cœur de Bordeaux, un ancien relais de poste hésite entre hôtellerie de charme et maison d'hôtes dans une décoration très contemporaine... un parti pris de modernité, un festival de couleurs, de lignes et de design !

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Façades sur cour de La Maison Bord'Eaux, hôtel à Bordeaux
  • La façade de l'hôtel donnant sur cour dont la terrasse pavée d'origine accueille les petits-déjeuners à la bonne saison.
  • En fond de jardin s'élance le pignon de l'ancienne écurie dont le fronton est décoré d'une tête de cheval.

« Au pays des Merveilles... »


Les derniers mots du célèbre conte de Lewis Carroll me rappelle une balade dans l'enfance, devenant une Alice curieuse et même "extravagamment curieuse", parvenue en un lieu empli de féerie. Mon blog... c'est une envie de faire rêver en partageant des moments d'évasion avec un petit brin de poésie. Quelques mots, des mises en scène d'objets chinés, des petites merveilles de créatrices et la nature en toile de fond !

« 1728 »

« La Féline Blanche »

Au pied du massif du Mont-Blanc, Brigitte et Jean-Jacques revisitent la décoration montagnarde et créent dans leur petit hôtel chic et cosy des ambiances subtiles de camaïeux de gris et de blanc évoquant plutôt la Scandinavie.

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Le Massif du Mont-Blanc et le village de Saint-Gervais Mont-Blanc vus de l'hôtel La féline Blanche
  • Vue d'une chambre sur le village de Saint-Gervais et sur le Massif du Mont-Blanc.
Au pied du Massif du Mont-Blanc, le village de Saint-Gervais déploie tous les charmes de la Haute-Savoie. Un bourg dans lequel il fait bon vivre situé au cœur du domaine skiable Évasion Mont-Blanc mais également la seule station thermale d'altitude des Alpes du Nord.

Dans le centre du village, l'hôtel « La Féline Blanche » nous fait découvrir sa façade typique de l'architecture savoyarde du début du XXème siècle.

Un refuge blanc et gris grège dans les cimes de Haute-Savoie

Gravir les quelques marches qui mènent à la terrasse plein Sud et s'arrêter un instant devant le Mont-Blanc en toile de fond qui s'affiche telle une carte postale.

Franchir la porte d'entrée et se laisser envahir par la douceur et la blancheur des lieux où un vent scandinave semble avoir soufflé sur ce petit hôtel de montagne.

« Poussière de Grenier... »

Poussière de Grenier Blog à la Une sur e-magDECO
J’aime le gris poussière... et l’atmosphère qui règne dans nos greniers.
C’est dans ces endroits que bien des trésors se cachent.
« Poussière de Grenier... » est un nom qui m’est venu d’un coup et lorsque j’admirais en silence tous ces jolis blogs sur la toile, je me disais qu'un jour, quand j’aurais le temps, et le courage de me lancer... j’appellerais mon blog ainsi !

Un loft d'esprit XVIIIème

Un ancien local commercial parisien se transforme en un loft chaleureux mariant meubles industriels et esprit XVIIIème.
Matériaux francs, structures apparentes et recherche des transparences pour une ambiance incomparable !
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La grande salle à vivre du loft de Laure Vial du Chatenet, créatrice de la Maison Caumont à Paris
  • Dans le salon de ce loft parisien, Laure aménage son espace en mélangeant les styles et les époques. Canapés "Habitat", cabriolets chinés. Un porte-manteau métallique forme une petite cloison pour séparer l'entrée de cette grande salle à vivre.

« La Mirande »

En Avignon, au pied du Palais des Papes, un hôtel cinq étoiles membre de "The Leading Hotels of the World" livre toute la richesse de son patrimoine séculaire.
Ce refuge hors du temps offre une expérience empreinte de rêverie, de flânerie et d'authenticité.
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Façade de l'Hôtel La Mirande en Avignon
  • La façade actuelle de « La Mirande », parfaitement classique, est l'œuvre de l'architecte Pierre Mignard, fils et neveu de Nicolas et Pierre Mignard, tous deux peintres du roi Louis XIV. Elle a été commandée par Pierre de Vervins, marquis de Bédouin, dont le père avait acheté la bâtisse en 1653.
Derrière sa façade baroque datant du milieu du XVIIème siècle, « La Mirande » tire son nom de la célèbre salle du Palais des Papes. Ancienne demeure de cardinal au moment de l'installation des papes en Avignon en 1309, puis hôtel particulier de certaines familles aristocratiques ou de grandes lignées avignonnaises marquant de leur empreinte la physionomie de la ville, la demeure inscrit l'histoire dans ses murs.

L'entré de l'Hôtel La Mirande en Avignon
  • L'entrée de l'hôtel avec une de ses deux consoles en pierre du XVIIeme siècle.
  • Lanterne de voyage rééditée par « La Mirande » d'après un modèle ancien, en coton et fer forgé, en vente dans la boutique de l'hôtel.

Transformée en hôtel raffiné sous l'impulsion de la famille Stein, la demeure baptisée « La Mirande » ouvre ses portes depuis 1990 à des hôtes à la recherche d'élégance, d'authenticité et soucieux du détail.
D'origine allemande, les propriétaires ont découvert le bâtiment trois ans plus tôt alors qu'ils désiraient s'installer en Provence par goût du climat, des paysages et du patrimoine architectural local. Leur passion pour les vieilles bâtisses et leur désir d'un grand projet les amènent à recréer dans cette demeure, alors sombre et secrète, l'ambiance d'une demeure aristocratique du XVIIIème où tentures et lustres d'époque côtoient fauteuils capitonnés et tableaux de maîtres.
Une rénovation réalisée avec élégance et authenticité

La famille Stein est composée d'amateurs d'art, de collectionneurs de meubles et de peintures, ainsi l'hôtel se décore avec une extrême minutie.
Elle s'offre le concours de François-Joseph Graf, décorateur parisien et de l'architecte avignonnais Gilles Grégoire. Elle fait appel aux antiquaires mais aussi aux meilleurs artisans et aux fournisseurs les plus prestigieux pour faire du mélange des styles des XVIIIème et XIXème siècles un ensemble harmonieux qui respecte infiniment plus le caractère du bâtiment que les aménagements précédents.

Haut patio sous une verrière de l'Hôtel La Mirande en Avignon
  • Le patio à l'heure du thé avec son buffet de pâtisseries maison.
  • Madeleines maison ainsi qu'un gâteau aux graines de pavot, le must du salon de thé !

Il faut dire que les Stein ont su résoudre en toute liberté le problème qui se pose régulièrement aux architectes des Monuments Historiques : que doit-on conserver, quelle époque doit-on mettre en avant ?
C'est ainsi qu'ils réussissent en assumant les décisions esthétiques pour trouver la vérité, l'âme de ce lieu.

Abrité par une haute verrière, le grand patio fait salon de thé

Tout proche de l'entrée, l'on découvre un grand patio, ancienne cour intérieure que les propriétaires ont fait couvrir d'une verrière.
C'est un lieu caché de l'agitation avignonnaise pendant le Festival et pourtant généreusement ouvert à la curiosité de tous grâce au salon de thé qui se tient là tous les jours de l'année.
Tout un chacun peut effectivement s'approprier le luxe de cet hôtel car le salon de thé n'est pas réservé exclusivement à la clientèle de l'établissement.
Ainsi, en son centre, un vieux et long drapier présente les délices d'un buffet de pâtisseries maison : madeleines, gâteau aux graines de pavot et macarons par exemple... à déguster accompagnés d'un café ou d'un thé d'exception sélectionnés par l'hôtel (Maison de thés allemande "Gschwendner").

Salon Napoléon III de l'Hôtel La Mirande en Avignon
  • Le salon Napoléon III est une petite salle à manger attenante à la salle Cardinalice.
Vaisselier accueillant une collection de porcelaines fines chinée dans le salon Napoléon III, Hôtel La Mirande, Avignon
  • Vaisselier d'origine accueillant une très belle collection de porcelaines fines chinée par Mme Stein, la maîtresse des lieux.
  • Splendide trumeau de cheminée avec ses gypseries et son décor Napoléon III.

Modèle de raffinement et d'harmonie

« La Mirande » est bien un hôtel particulier qui répond à l'idée qu'on peut se faire de ces très anciennes demeures bâties pour l'art de recevoir. Nul ne s'étonnera qu'on y ressente plus qu'ailleurs les bienfaits du voyage et les plaisirs de la rêverie.
Si originale, si profondément marquée par la personnalité de ses propriétaires, l'hôtel est comme une grande maison qui ouvre son domaine privé aux hôtes de passage.
Il recèle de véritables trésors comme cette petite salle à manger Napoléon III avec ses boiseries et son vaisselier d'origine... un lieu privilégié et intime pour célébrer des moments d'exception.

Détails du Salon Napoléon III de l'Hôtel La Mirande
  • Détail du salon Napoléon III et sa boiserie d'origine.
  • Un bouquet de fleurs fraîches de saison, quelques anémones décorent la table et accueillent chaque client.

«La Mirande» offre des plaisirs simples et nobles à toute heure

Le bar de l'hôtel accueille sa clientèle dans l'atmosphère chaleureuse de son salon rouge au plafond peint du XVIIème siècle ainsi que dans le petit salon dont l'alcôve décorée de gypseries abrite le comptoir.
Et comme la vie de « La Mirande » est rythmée par des repas qui sont autant de moments somptuaires que des collations plus simples, le bar offre une petite restauration régie par une philosophie bio.

Nouveauté 2011, des cours de création de cocktails avec le barman certains jeudis soirs au programme de l'atelier "Le Marmiton".

Le bar de l'Hôtel La Mirande
  • Le bar de « La Mirande » pour les petites faims ou les clients pressés.
  • Un club sandwich maison, une salade de saison... quelques exemples de la carte du snack.

À deux pas de la terrasse, dans la salle Cardinalice, ornée d'une tapisserie de Bruxelles du XVIIème et sous un plafond à double caisson époque renaissance, le restaurant de l'hôtel célèbre son art culinaire.
Cependant la cuisine moderne, foyer d'une intense activité, insoupçonnable pour les convives, garde ses secrets.

L'atelier de cuisine "Le Marmiton" offre l'opportunité de s'initier à l'art culinaire de la Provence

Aussi, il est un lieu où l'on peut en trouver l'esprit, où l'on enseigne les recettes du chef et celles de ses confrères. Depuis 1994, en effet, « La Mirande » accueille chaque année, dans le cadre de son atelier de cuisine dénommé "Le Marmiton", les plus grands chefs de la région.
Une semaine par mois, ces derniers se donnent rendez-vous dans la cuisine séculaire de la demeure, sur une vénérable cuisinière à bois, entourés des instruments les plus évocateurs de la grande tradition - casseroles en cuivre, récipients de belle faïence, balance Roberval et immense table en bois.

Dans cet atelier de cuisine, ouvert à tous, les chefs à tour de rôle, dévoilent sans fard tout le chemin qui mène à la réussite des mets qui font leur fierté.
Une occasion d'authentique partage, puisque, dans la complicité des gestes auxquels chacun s'essaye, les paroles se délient et les commentaires instruisent sur l'évolution des goûts contemporains.
L'atelier "Le Marmiton" est une belle opportunité de s'initier à l'art culinaire de la Provence ou parfaire nos connaissances gastronomiques.

Le chef Jean-Claude Altmayer dans l'ancienne cuisine du XIXème siècle de l'Hôtel La Mirande
  • Dans l'ancienne cuisine avec son fourneau à bois d'origine, a lieu une semaine par mois "Le Marmiton", l'atelier de cuisine de « La Mirande ». C'est également dans cette cuisine que le chef Jean-Claude Altmayer anime la table d'hôtes de l'hôtel, deux soirs par semaine.
  • Certains des instruments les plus évocateurs de la grande tradition culinaire, dixit Claude Eveno.

Le cabinet chinois de l'Hôtel La Mirande
  • Le cabinet chinois avec ses panneaux tapissés de lés de papier peint fabriqués en Chine au XVIIIème siècle.
Dans ces mêmes lieux au décor médiéval, une autre table se dresse les mardis et mercredis soirs, celle de la table d'hôtes pouvant accueillir jusqu'à douze convives.
Orchestrée par le chef Jean-Claude Altmayer dont la personnalité et les anecdotes font de la dégustation un réel moment de convivialité et d'échanges, cette table d'hôtes fait découvrir des mets imaginés au gré du marché du jour.

Un monument historique bien vivant

Comme un refuge hors du temps, « La Mirande » s'offre dans un décor au goût raffiné et évocateur des ambiances du XVIIIème siècle.
L'hôtel évoque la douceur de vivre des maisons d'autrefois.
La Rivière enchantée, La Roseraie, Le Grand Corail, Le Bambou, La Corne d'Abondance, Le Perroquet, Le Singe Savant... autant de noms de grands tissus du passé qui sont déjà à eux seuls, une invitation au voyage.

Détail de papier peint datant du XVIIIème siècle dans le cabinet chinois de l'Hôtel La Mirande
  • Détail du cabinet chinois.
  • Détail de lés peints datant du XVIIIème siècle.

Un exotisme constant marque l'héritage des murs devenus monuments historiques.
Héritage qui nous fait remonter le temps jusqu'au XVIIIème siècle, le siècle de tous les enchantements, qui vit l'apparition des jardins anglo-chinois et d'une littérature des plaisirs de l'amour et de la nature.
C'est à cette époque que l'on découvre toute la diversité des paysages, toute la variété des arts et des savoirs.
On se passionne pour les Indiennes, ces tissus autrefois importés de l'Inde, imprimés depuis 1760 par la Manufacture royale de Jouy.
Dans la continuité, et grâce à l'acquisition des plaques de cuivre gravées et des dessins de la Manufacture de Jouy fermée en 1843, la Maison Braquenié, sans doute la plus célèbre fabrique de textiles d’ameublement, tapis et tapisseries du XIXe siècle, continue à imprimer les Indiennes.

Une des chambres de La Mirande, hôtel en Avignon
  • Détail de la chambre 20.
  • Dans la chambre 20, grande chambre double de luxe au premier étage, les murs sont lambrissés et tapissés de toile imprimée, dessin de Pillement réadapté au XIXème siècle.

Un téléviseur miroir dans un cadre ancien doré, Hôtel de La Mirande, Avignon
  • Un téléviseur miroir discrètement intégré dans le décor (partie basse du miroir) est une des dernières réalisations du menuisier de « La Mirande ».
Ce qui permet aujourd'hui de restaurer fidèlement le décor des monuments historiques ou de créer des demeures aux ambiances évocatrices du XVIIIème siècle.
« La Mirande » est de celles-là, offrant un échantillon de chefs d'œuvres tissés selon les cartons d'origine, parfaitement identiques à ce qui émerveillait nos ancêtres. C'est d'ailleurs l'un des rares domaines où le neuf n'est ni une reproduction, ni un pastiche. Les tissus d'aujourd'hui ont toute l'authenticité des anciens, s'inscrivant dans une production issue des mêmes modèles, comme des exemplaires d'une série qui aurait pu être fabriquée autrefois et miraculeusement conservée. Réalisant un décor vrai, malgré leur installation récente, ils nous plongent au cœur d'une autre époque pour en approcher les sentiments et les goûts.

Les vingt chambres, situées à l'étage, sont dotées d'une décoration unique et possèdent chacune leur propre tenture murale XVIIIème rééditée par les maisons Braquenié, Le Manach, Canovas, Comoglio et Rubelli.

Salle de bain de La Mirande, papier peint imprimé à la planche, éléments sanitaires et robinetterie rétro
  • Le papier peint de cette salle de bain est imprimé à la planche.
  • La salle de bain de la chambre 20 : sol en carreaux de ciment, accesoires et robinetteries anglaises.
Une Suite de l'Hôtel La Mirande à Avignon
  • Le salon d'une Suite au premier étage qui donne sur le jardin et le Palais des Papes.
  • Murs lambrissés et tapissés de tissu imprimé. Petit déjeuner servi dans la chambre.

  • La chambre de cette Suite avec ses murs lambrissés. Le grand panneau en tête de lit est tapissé de tissu imprimé imitant une impression sur chaîne. C'est une réplique d'une toile conservée au château "Mont Geoffroy".
Les foisonnantes Indiennes s'accordent parfaitement aux rideaux doublés de soie, aux plis s'amollissant sur le sol.

Des chambres "High tech" dans le plus pur esprit siècle des lumières

Tout le confort moderne est discrètement intégré dans la décoration, à l'instar des téléviseurs "miroirs" dont l'écran une fois éteint se transforme en miroir. Le charme se prolonge dans les salles de bains élevées au statut de pièce noble par l'esprit du décor avec ses papiers peints anciens de Mauny, imprimés à la planche, ses robinetteries rétro et son marbre de Carrare.

« La Mirande » est le fruit d'un pari insensé de créer un lieu d'authenticité, de tradition et d'héritage. Elle vérifie une réussite, celle d'une expérience à contre-courant dans une époque où se perdent, trop souvent, l'élégance et le charme des temps passés. ■

Salle de bain garnie de carreaux de marbre de Carrare Arabesco
  • On aperçoit la salle de bain de cette Suite.
  • Cette salle de bain est garnie de carreaux de marbre de Carrare "Arabesco".
Stylisme Laëtitia Rissetto / Photos Laëtitia & Philippe Rissetto / Texte composé avec des extraits du livre «La Mirande» de Claude Eveno

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« La Mirande », Hôtel***** membre de "The Leading Small Hotels of the World", Restaurant, Salon de thé, Boutique, Atelier de cuisine, Table d'hôtes
4 Place de La Mirande, 84000 AVIGNON
Téléphone : 00 33 (0)4 90 85 93 93
Site Web : http://www.la-mirande.fr/



Parmi les livres écrits par Claude Eveno :
  • "Carnet de villes"
    Édité par "Les Éditions de l'Imprimeur".
  • "Un amateur d'architecture"
    Édité par "Les Éditions de l'Imprimeur".

Carnet de villes Un amateur d'architecture


Nous remercions Florence Biscarrat et le personnel de « La Mirande »